Bill
J’ai reçu mon diagnostic en janvier 2000 quand j’avais 59 ans.
J’ai souvent dit que ma réaction initiale après avoir reçu le diagnostic, c’était un peu comme recevoir un coup de poing dans la figure. Tous mes plans d’avenir ont semblé voler en éclats. On m’a dit qu’avec un diagnostic précoce et la prise de médicaments, je pourrais peut-être espérer cinq bonnes années avant d’avoir besoin de soins à temps plein. En gros, on m’a dit de rentrer chez moi et de m’organiser.
Maintenant, à 77 ans, mes médecins me disent de continuer à faire ce que je fais, car ils ne savent pas pourquoi je vais aussi bien depuis aussi longtemps.
Lorsque j’ai reçu mon diagnostic, ma famille m’a beaucoup soutenu. Ils ont réagi avec amour et compassion. Certains de mes amis étaient surpris d’apprendre la nouvelle, peut-être parce que j’étais relativement jeune, mais je ne me suis jamais senti abandonné par qui que ce soit.
Je ne dirais pas que j’ai vécu une stigmatisation, et j’essaie de m’impliquer dans tout ce qui se passe… pourvu que ça m’intéresse.
Médias
VOICI MES CONSEILS POUR VOUS AIDER À COMPRENDRE :
- Après la dissipation du choc provoqué par le diagnostic, impliquez-vous dans tout ce qui vous intéresse. Ne vous asseyez pas dans un fauteuil en attendant de mourir.
- Contactez votre Société Alzheimer locale et apprenez-en davantage sur la maladie. Impliquez-vous dans ses programmes et groupes de soutien.
- L’impact des maladies cognitives est différent chez chacun.
- Restez physiquement et socialement actif aussi longtemps que possible.
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